Je sais, dire merci et être gentil est un peu galvaudé. Tant pis, j’assume, j’ai plein de merci pour gentillesses à envoyer …
tout d’abord un grand merci à tous les organisateurs du Ravel qui ont permis l’existence même de cette belle aventure et à Cap 48 qui nous a pris à témoins.
Un merci tout particulier à Adrien Joveneau pour son esprit constructif et son extraordinaire faculté d’écoute. Un exemple ? Le 21 octobre, dans le cadre de l’émission spéciale Cap 48 en direct de Liège, il a fait passer la chanson "Comé Lézotré" des enfants aveugles de Gihanga. J’ai été très touché de les entendre ici. Hors antenne Adrien m’a rappelé que je lui avais dit, au Burundi, le dernier jour du Ravel, que c’était important pour moi… Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Merci.
Merci à tous les burundais et à tous les muzungus qui ont participé au Ravel. Merci pour les poussettes dans les montées (quelle force ces cyclistes burundais), merci pour les mains et les coudes tendus, merci pour toutes ces petites attentions quotidiennes, merci pour ces 1001 partages comme venir vers moi, le temps d’une pause, pour me dire que le paysage était beau … Certains diront que c’est tout à fait normal. Faux. D’expérience je peux vous dire que la plupart des gens ont peur de la différence et donc ont peur du handicap et des handicapés. Alors un grand merci à tous ceux qui ont osé faire un pas vers moi. Toutes vos petites attentions sont de réels dons de vous qui m’ont touché et que j’apprécie énormément.
Un merci spécial à Eric, ce Capitaine de police cycliste amateur-grimpeur, avec qui j’ai pu faire équipe de tandem pendant pas mal de kilomètres. Merci pour tes partages, tes attentions, ton coup de pédale solide.
Et enfin un merci tout particulier à Hélène LN… Ma fille Hélène !!! Qui s’est occupé de toute mon intendance, de mon bien-être comme une vraie petite maman. Nous n’avons pas eu le temps de vraiment parler ensemble mais ce que nous avons vécu est de l’inaltérable. Même si ça l’embête, je me dois de m’excuser auprès d’elle si je lui ai pris du temps, si je l’ai un peu éloignée de l’amusement avec ses nouveaux copains et copines, si, à force de ne pas vouloir la déranger, je l’ai fait. Merci Hélène, merci pour ta patience, ta disponibilité, tes "attention au caniveau" et ta présence. Ca va ? Quand est-ce qu’on repart ?
Merci aussi pour tous les e-mails d’encouragements reçus. Je reviens bientôt aux mercis à tous ceux qui ont et vont participer au projet "Donne à voir" …
JL