J’ai toujours été un admirateur de Franquin. Admirateur des dessins, de l’esprit, de l’homme humble qu’il était. J’ai d’ailleurs une de ses dédicace qui trône au dessus de mes diplômes : un dessin qu’il m’a fait il y a … années et qui représente Gaston, à cheval, qui me lance un « Bon parcours Jean-Luc » …
Pour moi, ses meilleurs albums sont ceux qu’il a faits alors qu’il était en pleine déprime : les « Idées Noires ».
L’autre jour, mon frère me rappelle qu’au dos de l’album il est écrit : « Lorsqu’après avoir lu une page d’idées noires de Franquin on ferme les yeux, l’obscurité qui suit est encore de Franquin. »
Sa conclusion : Tu peux encore lire les idées noires.
La mienne : Le noir peut être riche de tout ce qu’on veut y mettre.
Quelles richesses y a-t-il dans vos moments de déprime ? Qu’est-ce qui brille dans votre noir ?
Jean-Luc